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petites pensées éparses

13 septembre 2012

lettre d'amour

J'étais allée te chercher dans le froid glacial de février. Plus tard Il y eut des jacinthes sur la table et j'avais planté des jonquilles sur le balcon. Le printemps pointait fébrilement son nez et parfois tombait encore la neige. Arriva mon anniversaire. Caspar dans mes bras, tu m'as regardé avec douceur. C'est peut-être là que j'ai sentit pousser en mon cœur comme un début de sentiment. Mais mon cœur était encore ravagé des dernières tempêtes et je m'empressais donc d'éteindre ce début de flamme avant qu'elle n'incendie mon corps entier. Les mois ont passés et ton sourire me suffisait. Les sentiments s'étaient tus. Je les avais plus ou moins oubliés. Tout allait très bien jusqu'au jour où tu nous as appris que ta galerie fermait. Les images ont défilées  à toute allure dans ma tête. Je te voyais partit, retourné au delà de l'océan. La journée me rongea les sangs et je sentis au fond de moi que les sentiments qui s'étaient tus étaient au bord, tout au bord, aux frontières de mon cœur. Tu me manquais déjà. Des jours passèrent et tu étais toujours là, tu ne parlais pas de quitter Berlin. Mes sentiments poussaient. Une fois de plus je les fis muets. Il le fallait. Tu vivais ta vie et la partageais. Je ne comptais pas les pincements que me faisait le nom de tes conquêtes. De ces petits pincements, j'en pris l'habitude. Cahin, caha le temps passait. Vint l'été et notre voyage vers ma terre d'origine. La parenthèse se referma enlaçant un bonheur confus.  Au bord du cœur toujours mes sentiments pour toi flottaient. Et puis les lignes de flottaisons se troublèrent et plus rien ne fut clair. La semaine qui suivit fut empreinte de toute sortes de choses, tu étais là, frère, ami, mystère, amant. Je sentais poindre le danger de perdre mon cœur dans une énième tempête, et, par peur de me voir une fois de plus dans le reflet de mes larmes, je décidais fermement de ne pas t'aimer. Je me suis retirée, je t'ai évité. Au point où je t'ai presque détesté. Parce qu'il est toujours plus facile de détester que d'aimer en silence. Alors nous nous sommes croisés, chaque jour, comme avant, bonjour, bonsoir, un sourire dans le couloir, quelques mots dans la cuisine. J'ai caché, enfoui bien au fond ce qui aurait pu être de l'amour et j'ai ainsi évité le pire.

 

Aujourd'hui tu t'en va, tu lis ces lignes et je sais que je ne t'apprends rien.

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12 septembre 2012

Sur la montagne

J'ai pris une décision que j'avais peur de prendre. Je serais "successful". Successful, cela veut dire sans vous, sans aucun de mes amis. Cela veut dire prendre un chemin qui ne croisera peut-être plus jamais le leur. Cela veut dire entamer l'ascension sans les attendre, grimper sans vouloir vous garder quelque part, dans une coin de sac -à-dos. Ils sont trop lourds pour moi et mon humilité me pèse. J'avais promis de ne jamais les oublier. Je vais rompre ma promesse. Je les laisser là, dans la vallée et je pars pour les sommets, là où la neige est blanche et le froid me coupera les lèvres. Mais peu importe ce qu'il m'attend, les difficultés qui longeront mon voyage. J'en ai déjà essuyé des échecs, j'ai déjà été balayé d'un  revers de main et c'est sûr je le serais encore. Je pars, cette fois pour de bon et cette fois je ne ferais pas comme le femme de Lot. Je ne me retournerais sur un passé maudit.  Cette fois mon passé ne me figera pas en statue de sel, au sommet d'une falaise. Cette fois je pars et je ne laisse rien. Oubliez mon adresse, celle d'hier, celle d'aujourd'hui, vous n'en aurez plus besoin. Jeudi, je pars.

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10 septembre 2012

Quand on le lit, on ne veut pas y croire. C'est

Quand on le lit, on ne veut pas y croire. C'est la douche froide! Oui il y des menaces pour les mac aussi. Un malware à été découvert dans les profondeurs étranges de l'océan internet. Un petit vers de la longueur et l'épaisseur  d'une glass nuddle, se ballade derrière vos écrans, dear Mac Users! Son petit nom est Flachback. Il est en train de faire un malheur et aurait déjà infecté 600 000 ordinateurs, dont 4000 en France, selon l'observatoire des fonds marins électroniques. Même s'il est vrai que les fabricants d'antivirus, comme norton, font montée la pression. Le marché Mac est gigantesque. Les professions autour de l'image et du graphisme se multiplient ces les professionnels de l'image n'utiliserons jamais un PC. Il faut donc bien un moyen de leur faire acheter un antivirus. Anyway, il n'empêche que la menace est réelle. Il ne s'agit pas d'une épidémie mais tout de même, prenez garde lorsque vous visiter des sites pas très cathodique (les sites de streaming) par exemple. Flashback apparait alors comme une mise à jour de Flash, que vous exécutez tranquillement et qui ira ensuite vous voler vos mots de passe et d’autres informations personnelles dans le navigateur ou dans Skype. lashbback c'est récemment infiltré dans une faille de la machine virtuelle Java sur OSX, du coup il a pu s'installer seul, sans manip' de la par de l'uitilisateur. Appel est à blamer, pour faute de ne pas avoir vue cette faille assez rapidement et ne pas l'avoir réparer à temps. Entre temps Flashback a malheureusement eu le temps d'infecter quelques machines.  Si vous penser l'avoir attrapé ne stresser pas, ouvrer un terminal et entrer

defaults read /Applications/Safari.app/Contents/Info LSEnvironment
defaults read /Applications/Firefox.app/Contents/Info LSEnvironment
defaults read ~/.MacOSX/environment DYLD_INSERT_LIBRARIES

si le terminal vous mentionne,

 

"The domain/default pair of (…) does not exist"

 vous pouvez aller jouer au badminton tranquillement! Sinon aller voir chez F-secure, vous y trouverez un tutoriel pour vous aider.

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(photo by Jing dong-flikr)

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